La femme blonde au comptoir n’a plus d’yeux que pour les pincements de la senestre et les glissements de la dextre. « La seconde est aussi discrète, voyance en ligne, que la nuit* Qu’elle fuit car elle craint d’y voir son passé Elle fouille, elle fouine, invisible à l’env Cependant, elle est là, finissant son café
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